Nvidia accorde à GeForce Now une hausse de prix malvenue
Nvidia a confirmé qu’elle augmenterait le coût de GeForce Now en Europe et au Canada, ce qui rendrait encore plus coûteux le streaming de jeux PC via le cloud.
À partir du 1er novembre 2023, il coûtera 19,99 £ pour un abonnement d’un mois à GeForce Now Ultimate (au lieu de 17,99 £) et 99,99 £ pour un abonnement de 6 mois (au lieu de 89,99 £).
L’abonnement Ultimate est le niveau le plus élevé proposé actuellement par Nvidia, donnant accès à une puissance équivalente au RTX 4080, jusqu’à une résolution 4K et des performances de 120 ips lors du streaming de jeux via le cloud.
Le niveau Priorité de Nvidioa bénéficie également d’une augmentation de prix, désormais au prix de 9,99 £ pour 1 mois (contre 8,99 £) et de 49,99 £ pour 6 mois (contre 45,99 £). Le niveau Priorité vous permet également de diffuser des jeux via le cloud, mais limite la résolution à 1080p et les performances à 60 ips.
Nvidia a cité « l’augmentation des coûts d’exploitation » comme raison de ces hausses de prix. Cependant, Nvidia affirme que les membres existants et les nouveaux pourront verrouiller leur adhésion aux prix existants s’ils s’inscrivent ou renouvellent avant la date limite de novembre.
Nvidia a confirmé qu’il n’y aurait pas de hausse de prix pour les autres territoires pour le moment, ce qui signifie que les prix resteront les mêmes pour ceux des États-Unis.
Heureusement, Nvidia continuera à proposer son offre gratuite pour GeForce Now. Cependant, ce niveau offre des performances de base et n’autorise que des sessions d’une heure avant d’être renvoyé dans une file d’attente virtuelle. La mise à niveau vers le niveau Priorité verra la durée de la session augmenter à 6 heures, tandis que le niveau Ultimate autorise des sessions de 8 heures.
Alors que PlayStation Plus et Xbox Game Pass ont connu leurs propres hausses de prix ces derniers mois, il devient de plus en plus coûteux de conserver plusieurs abonnements de jeux en déplacement. Cette tendance est susceptible de se poursuivre dans le futur et pourrait éventuellement atteindre le point où les abonnements ne sont plus suffisamment rentables pour être justifiés.